On est tous contents parce que les vacances de Noël arrivent : on aura quelques jours de repos pour faire la grasse matinée, passer de bons moments avec la famille et les amis, faire la fête et recevoir des cadeaux.
Le 21 novembre, c'était l'inauguration des illuminations de Noël à Paris. C'est normalement pendant ce mois que l'on décore les portes des maisons avec des couronnes et que l'on peut déjà visiter les marchés de Noël pour acheter des produits typiques de cette époque : pour manger ou pour décorer les foyers.
Depuis le premier décembre, on s'amuse à ouvrir les petites fenêtres du calendrier de l'Avent : il faut ouvrir une fenêtre tous les jours jusqu'au 24 décembre, veille de Noël. Normalement, ce sont les petits enfants qui les ouvrent.
Il faut aussi chercher une place pour installer la crèche avec les Rois mages ( Melchior, Gaspard et Balthazar ), la Sainte Famille ( le petit Jésus et ses parents, Marie et Joseph ), l'ange, le bœuf, l'âne, les bergers et les santons : des personnages qui représentent des métiers divers.
Et une autre, un peu plus grande, pour le sapin, qu'il faut décorer avec des guirlandes, des boules, une étoile...
Source : http://fr.harrypotter.wikia.com/
Le 6 décembre, c'était la Saint-Nicolas : les enfants du nord-est de la France on déjà reçu des cadeaux et des friandises.
Le 24 au soir c'est le réveillon de Noël et on se dira « Joyeux Noël ». Les familles sont réunies pour dîner : les grands-parents, des oncles, des tantes, des cousins, des cousines... C'est génial, parce que cela fait beaucoup de cadeaux ! Officiellement on doit attendre le passage du Père Noël, après minuit, pour les avoir. Beaucoup de familles les donnent au dessert, mais les plus petits enfants, qui se couchent plus tôt, doivent attendre le lendemain matin pour les voir, déposés aux pieds du sapin.
En France, le dîner « typique » de Noël : des huîtres ou du foie gras en entrée, de la dinde aux marrons et, en dessert, une bûche au chocolat. Après, on peut déguster aussi des truffes avec le champagne ou le café. C'est un repas qui dure longtemps ! Bien sûr, chaque famille choisit son menu.
Le lendemain, le 25 décembre, on continue à faire la fête avec la famille et à manger lors du repas de Noël !
Le 31 décembre, c'est le réveillon de la Saint-Sylvestre et on fête l'arrivée du nouvel an en famille ou entre amis. Après les douze coups de minuit, tout le monde dit « Bonne année ! » et on s'embrasse. Si on veut avoir de la chance toute l'année, sous le gui. On sort les cotillons et les serpentins et on danse jusqu'au matin.
Le lendemain, Jour de l'an, on s'échange des vœux et on prend de bonnes résolutions pour l'année qui vient de commencer. En France, on présente ses vœux jusqu'à la troisième semaine de janvier.
Les bonnes résolutions pour l'année à venir sont une coutume qui consiste à prendre un engagement pour améliorer quelque chose qui nous concerne durant l'année à venir. Par exemple : arrêter de fumer, se mettre au régime, faire du sport, étudier davantage, apprendre une nouvelle langue, faire des économies...
Ces dessinateurs s'engagent avec conviction dans la défense des droits de l'homme. Du 18 novembre au 16 décembre, l'exposition " Cartooning for Human Rights " réunit le travail de 28 dessinateurs européens au Centre d'art contemporain Winzavod à Moscou, à l'initiative de l'Institut Français de Russie. Elle permet de sensibiliser le public à la nécessité de respecter, protéger et concrétiser les droits de l'homme.
Les traditions sont différentes selon les pays et même les régions. En tout cas, on répresente Saint Nicolas portant crosse et mitre, avec un âne. Il distribue des cadeaux et des friandises aux enfants. Il est quelquefois accompagné du père Fouettard, qui dispense des coups de bâton ou du charbon aux enfants qui n'ont pas été sages.
La veille, le 5 décembre, les enfants laissent un petit verre pour Saint Nicolas et une assiette avec des carottes et des sucres pour son âne magique. Le lendemain matin, le 6 décembre, les enfants trouvent des cadeaux et des friandises au pied de la cheminée : des petites figurines en massepain, des gâteaux en pain d'épice ayant la forme de Saint Nicolas, des chocolats...
Chaque 1er décembre, la Journée mondiale contre le sida nous invite à lutter contre cette maladie et à montrer notre solidarité à l'égard des personnes séropositives et sidéennes. Il s'agit d'une journée internationale où des actions d'information, de prévention et de sensibilisation sont conduites. Elle est aussi celle de la mémoire et du souvenir en l'honneur des personnes décédées de la maladie.
Cette journée a été établie le premier décembre 1988 par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour signaler l'importance et la gravité de cette pandémie et afin que chaque pays soit responsable pour assurer un accès universel aux traitements, aux soins et au soutien pour toutes les personnes vivant avec le VIH ou le sida.
Écoutez Michel Sidibé, le directeur exécutif de l'ONUSIDA, qui reconnaît les énormes progrès en ce qui concerne le traitement, mais évoque que les jeunes femmes sont confrontées à une triple menace :
-Sida Info Service : site de l'association nationale de lutte contre le sida.
Si vous voulez connaître le témoignage d'une adolescente séropositive de naissance, cliquez ici. Elle s'appelle Anne-Laure, elle a 16 ans au moment de l'enregistrement de la vidéo et elle a contracté le sida in utéro, dans le ventre de sa mère. Elle constate que les jeunes connaissent mal les réalités de cette maladie parce qu'on ne leur explique pas suffisamment ce qui la caractérise.
C'est le dernier phénomène viral depuis un mois : le Mannequin challenge, qui est né au sein de lycées américains de Floride, consiste à se filmer en tenant une position figée, le plus souvent sur fond du tube de hip-hop Black Beatles du duo américain Rae Sremmurd et Gucci Mane.
Dans l'IES Johan Carballeira on a profité de cette mode pour réaliser notre propre Mannequin challenge : on s'est arrêté pour dire STOP aux violences faites aux femmes.
La violence contre les femmes est un problème mondial. Jusqu’à 70 % des femmes sont victimes de violence physique, verbale, psychologique ou sexuelle au cours de leur vie. Les coûts et conséquences de cette violence se font sentir sur plusieurs générations.
Cette journée est soutenue par l’Organisation des Nations Unies (ONU) et célébrée le 25 novembre, date qui a été choisie en mémoire des activistes Mirabal, trois sœurs, connues aussi comme les sœurs "Mariposas" (papillons), qui militaient pour leurs droits et qui ont été brutalement assassinées le 25 novembre 1960 sur l’ordre de Rafael Trujillo, chef d’État de la République Dominicaine.
Quelques chiffres en France:
-Une femme sur sept (14,5 %) a été victime de violence sexuelle dans sa vie.
-89 femmes ont été tuées par leurs compagnons ou ex-conjoints depuis le début de l’année 2016 (actualisé le 01/11/2016).
-122 femmes tuées par leurs conjoints ou ex en 2015 (une femme tous les 3 jours).
Statistiques des violences faites aux femmes en 2015. - MINISTÈRE DES FAMILLES
Malgré l’éducation, toute l’information, toutes les images, les vidéos et les textes émotifs qui circulent sur Internet, on n’arrive pas à l’éliminer. Aidez-nous à combattre la violence !